INTÉGRATION II

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La Chimie de la Conscience – Le mystère de la glande pinéale

« L’objectif central d’Intégration II – Le mystère de la glande pinéale – La Chimie de la Conscience consiste à se concentrer globalement sur le rôle essentiel, et majoritairement occulté par la médecine et ses spécialités, joué par l’antenne principale de la conscience primordiale humaine : la glande pinéale. 

Cet ouvrage dévoile à la fois les compréhensions actuelles la concernant, mais aussi celles, plus méconnues, relatives à ses divers dérivés de synthèse endogènes et à ses mécanismes biochimiques complexes, dont résulte une réaction métabolique : la chaine tryptophane, synthétisée grâce à la molécule de la conscience, la sérotonine, et à son précurseur, la tryptamine. Ainsi contre toute attente, l’épiphyse représente littéralement une mini-usine à composés hautement psychoactifs, dont la réactivation permet de tendre vers le seul éveil spirituel véritablement authentique : l’éveil paradoxal ou le quatrième état.

Cet état ne s’obtient d’ordinaire qu’à l’aide de pratiques ancestrales régulières, sérieuses et sur le très long terme, telle la méditation bouddhiste tibétaine ou le yoga. Or, malgré leurs progrès considérables, les chercheurs demeurent toujours incapables de déterminer qui de Dieu ou du cerveau a engendré l’autre. Qui de la conscience ou de la matière est apparue en premier.

Dans Intégration II, nous avons donc choisi d’associer certaines données métaphysiques, déjà énoncées dans Intégration I, à propos de la conscience humaine à des recherches et interrogations d’ordre principalement scientifique relatives au cerveau, afin d’apporter un regard novateur sur ce que nous savons réellement, en définitive, de leur chimie.

Autrement dit, accepter que nous ne savons rien, ou pas grand chose, à leur sujet comparativement à tout ce qu’il nous reste encore à découvrir. Nul ne peut donc méjuger d’un état modifié ou d’un état étrange de la conscience, comme de leurs ressources, avant d’en avoir fait lui-même l’expérience. Personne, ni les matérialistes, ni les spiritualistes, ne peut prétendre détenir la vérité. L’ignorant de l’intériorisation véritable, ponctuelle et du fonctionnement du cerveau, ne demeurera jamais que l’objet d’une réalité prohibitive et faussée, car linéaire et unidirectionnelle, dans un univers multidimensionnel, ambitionnant à présent de vivre l’Intégration…»