RÉGRESSIONS ET VIES ANTÉRIEURES… POUR OU CONTRE ?

Dès qu’il s’agit d’aborder le sujet des régressions dans les vies antérieures, bien des sourcils se froncent, incrédules, voire carrément sceptiques!
C’est pour cette raison que j’ai décidé de rédiger cet article, afin de lever le voile épais d’ignorance et d’a priori qui recouvre la notion de réincarnation dans nos sociétés occidentales et judéo-chrétiennes. Je souhaite avant tout apporter des réponses et permettre à ceux qui s’interrogent sur le bien-fondé d’une telle approche, de dissiper leurs doutes, leurs craintes, leurs jugements aléatoires et les croyances populaires qui desservent cette forme de thérapie.

Dès qu’il s’agit d’aborder le sujet des régressions dans les vies antérieures, bien des sourcils se froncent, incrédules, voire carrément sceptiques!

C’est pour cette raison, que j’ai décidé de rédiger cet article, afin de lever le voile épais d’ignorance et d’a priori, recouvrant la notion de réincarnation dans nos sociétés occidentales et judéo-chrétiennes. Je souhaite avant tout, apporter des réponses et permettre à ceux qui s’interrogent sur le bien-fondé d’une telle approche, de dissiper leurs doutes, leurs craintes, leurs jugements aléatoires et les croyances populaires, desservant cette forme de thérapie.

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Évidemment, celle-ci s’appuie sur des notions fondamentales. Notions, dont les racines sont bien plus anciennes, que les religions patriarcales et leurs doctrines, tels que le bouddhisme et les textes sacrés des Vedas:

  1. La réincarnation.
  2. La survie de l’âme après la mort physique.
  3. Le report d’une vie à l’autre des acquis et des épreuves traumatiques ou inachevées.

Selon ces philosophies, l’ensemble des corps subtils se détachent progressivement du corps physique au moment de la mort. Et ce, jusqu’à ce que l’âme soit complètement “libérée” de la conscience ordinaire ou déliée de l’individu que nous étions. En d’autres termes, à chaque nouvelle descente en incarnation, notre essence habite un nouveau véhicule de chair. Elle développe une autre personnalité, s’appuyant sur les précédentes. Elle se fixe de nouveaux objectifs et leçons.

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Faut-il croire aux vies antérieures pour entreprendre une thérapie de régression?

Croire ou non aux vies antérieures n’empêche nullement, de tirer les bienfaits d’une thérapie globale de régression, telle que celle proposée dans la Ro-Hun thérapie. En effet, la régression ne se résume pas à un retour dans les vies antérieures. Elle concerne également la période de gestation, la naissance et l’entre-deux vies.

Lorsque je pressens une résistance, face à la possibilité d’accéder à des informations, dépassant le périmètre restreint du “connu“,  il m’arrive fréquemment de poser la question suivante à mes patients:  « Pouvez-vous me raconter comment s’est déroulée votre vie fœtale? »

Sans exception, tous sont désarçonnés par une telle requête. Ni leur mental, ni leur ego ne sont en mesure de me répondre ! Embarrassés, certains tentent de me fournir des fragments d’une histoire, glanés auprès de leur mère ou de leur  famille proche.

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Étonnamment, une fois en expansion de conscience, leur langue se délie. Leur mémoire resurgit comme par magie. Leur récit de la phase précédant leur naissance devient clair, intelligible et explicite. Offrant des éclaircissement sur des problèmes, qui semblaient jusqu’alors insolubles, cette démarche apaise et soigne une multitude de souffrances auparavant inexplicables: physiques, psychosomatiques, émotionnelles ou psychiques.

Cette seule expérience majeure de régression dans la gestation permet de mettre en lumière:

  1. Des modes de fonctionnements inconscients et débilitants pour l’adulte.
  2. Des contrats de dépendances ou de loyauté aux parents, aujourd’hui inadéquats.
  3. Des mécanismes de défense obsolètes.
  4. Tout un arsenal de croyances limitatives, inhibant la capacité de surmonter les obstacles de la vie de tous les jours.
  5. L’existence d’une conscience avant la naissance.
  6. Le but réel de notre incarnation, honoré ou non par la suite en grandissant.

Explorer une vie antérieure, ou plusieurs, comporte l’avantage de:

  1. Résoudre des énigmes.
  2. Intégrer des blocages.
  3. Pacifier des relations dites “karmiques”.
  4. Soigner des blessures.
  5. Dépasser des phobies.
  6. Recouvrir de véritables aptitudes, talents, dons déployés précédemment, que nous voudrions approfondir.  
  7. Comprendre notre attirance pour tel pays, tel lieu ou culture.
Comment ça marche?

Certes, l’hypnose est l’un des moyens traditionnellement, utilisé en psychothérapie, afin d’accéder aux mémoires de notre passé. Que celles-ci soient d’ailleurs relatives à notre vie présente ou à nos vies antérieures. Toutefois, l’hypnose n’est de loin pas la seule méthode accessible aujourd’hui, pour nous soigner des conséquences de nos diverses expériences.

Dans le cadre de la Ro-Hun thérapie, ce genre d’exploration est également proposé. Thérapie de l’âme, elle permet d’accéder aux registres consignés dans cette dernière, à la ressemblance d’un disque dur, sans limite de temps ou d’espace. En effet, celle-ci contient l’ensemble de ces informations et nous ouvre ses portes. À condition bien-sûr, que l’individu s’autorise à franchir les limites des domaines familiers. Celles du mental, des 5 sens, des croyances de la conscience propre à l’ego ou à la personnalité, que nous incarnons actuellement.

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Par conséquent, l’exploration des vies antérieures, – aussi nommée régression -, nécessite une expansion de conscience lucide ou un état altéré de conscience. L’objectif étant de transcender les frontières des souvenirs du quotidien, afin de pouvoir accéder à ce vaste réservoir d’annales, contenues dans la conscience onirique ou symbolique. Pourtant expérimentée toutes les nuits dans nos rêves, nous ne ramenons de cette dernière, que des bribes parfois vivides ou floues, mais pour la plupart intraduisibles par la conscience ordinaire. (Voir: La Chimie de la Conscience)

Pour y parvenir, l’association d’une induction spécifique, ciblée, de la lecture par le thérapeute du champ électromagnétique (aura) du patient, incluant ses chakras, ainsi qu’un échange verbal constant patient/thérapeute, permet l’accès à des zones jusque-là oubliées, afin de les revisiter et de les transformer.

Dans bon nombre de méthodes ou d’approches, ces “zones” appartiennent au monde de l’inconscient ou du subconscient. Un fourre-tout bien pratique, nous maintenant dans l’ignorance de notre être véritable.

Dès lors, une autre question s’impose: Pourquoi ces réalités ne sont-elles pas atteignables à l’accoutumée? Tout simplement parce que notre cerveau les filtre!

Il considère, que les données renfermées et oubliées ne détiennent aucune utilité pour fonctionner dans la vie courante!

Jusqu’au jour où, un sentiment de déjà vu, une maladie grave ou récurrente, une relation difficile, la perte d’un être cher, un accident, un divorce, un licenciement, une situation incompréhensible, injuste, ou n’importe quel évènement important, nous poussent à nous interroger sur leur cause, leur sens, leur dessein. Alors qu’aucune explication dite “rationnelle” ne semble nous satisfaire.

À quoi peut me servir une telle thérapie?

Quel que soit l’objet de la régression, celle-ci peut radicalement modifier notre perception du monde, de l’environnement, de la raison d’être de l’humain, de l’existence terrestre, des possibilités infinies de notre conscience. Elle soutient la libération de l’âme, de notre cœur, de ses innombrables souffrances et/ou sentiments d’inachevé.
Ces derniers portent en eux, leur lot d’émotions négatives, tels que: culpabilité, ressentiment, colère, rage, haine, peur, chagrin, amertume, dépression, insécurité, impuissance, déni, etc. Des formes pensées comme: “Personne ne m’aime“, “Je n’ai aucune utilité dans ce monde“, “Je dois me protéger pour survivre“, “Ça n’arrive qu’à moi“, “À quoi bon…” trouvent leur racine dans les profondeurs de notre essence meurtrie et de sa très longue histoire.

Par ailleurs, bien des maladies, phobies et troubles psychiques proviennent d’un passé bien plus lointain, que celui de notre enfance actuelle. Cette approche examine de plus près ces évènements anciens. Elle les observe sous un autre angle, avec une perspective plus large, un regard plus détaché ou neutre. Elle mène vers une pacification, une résolution des problèmes rencontrés, en prenant conscience de, en acceptant et en intégrant, l’expérience douloureuse traversée autrefois. Ainsi, les troubles diminuent, voire disparaissent complètement.

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S’il arrive que des personnes viennent par simple curiosité, la thérapie s’avère beaucoup plus intéressante et fructueuse, si les motivations sont précises et réalistes. Car entreprendre une telle démarche, dans le seul but de récupérer des “aptitudes psychiques“, ne s’étant jamais manifestées auparavant, risque de laisser l’individu sur sa faim. De même, s’imaginer avoir été un personnage influant, afin de donner un sens à sa vie et vouloir en avoir la confirmation, par le biais d’une régression dans une vie antérieure, n’apportera généralement qu’une cuisante désillusion!

À l’exception de ce genre de requêtes, – relevant davantage d’aspirations égotistes, que d’intentions sincères de progression -, les visées individuelles en matière de régressions sont aussi variées, que recevables pour le thérapeute.

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La raison en est élémentaire. Une fois la session terminée, le mental et l’ego, – désappointés par leur ignorance, -,  reprennent leurs “droits“. Ils soumettent la personne au doute. Le doute en soi n’est pas négatif. Dans la mesure où il nous pousse à nous remettre en question. Mais s’il perdure, il ferme littéralement l’accès à notre âme et à ses précieuses informations. Généralement, cette crainte de l’affabulation s’estompe dès la deuxième séance. Tant les révélations, ainsi obtenues, s’avèrent bien plus vastes, riches et intéressantes, que celles suggérées par la “raison“.

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Pour les plus récalcitrants, un petit exercice très simple permet de démontrer le non fondement de leur inquiétude. Il suffit de les mettre au défi de raconter une histoire sur le champ. Une récit élaboré de toute pièce, contenant autant de détails, de rebondissements, d’émotions et de découvertes, que ceux expérimentés au cours de la régression! Immanquablement, l’ego sèche, dépité…

À quoi dois-je m’attendre durant la séance?

Une fois la relaxation terminée, le thérapeute vous guide, en vous posant des questions. Questions, auxquelles il vous faudra répondre le plus spontanément possible, sans réfléchir, pour une plus grande fluidité et authenticité des perceptions. Dans la mesure où l’individu fait l’objet d’une expansion de conscience, allongé et les yeux fermés, il n’a plus recours à ses 5 sens ordinaires. D’autres “sens intérieurs” prennent le relais, semblables à ceux expérimentés dans les rêves.

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Par conséquent, la majeure partie des patients réalise, qu’ils ne voient pas de la même manière, que lorsque leurs yeux sont ouverts. Ils ressentent des impressions, se traduisant soit en sensations, en images et plus rarement en sons ou paroles audibles.

Dans le cas d’une régression dans une vie antérieure, les questions sont tout d’abord d’ordre général. Elles portent essentiellement sur l’environnement, l’époque, les personnages, l’apparence du corps de l’époque. Au fur et à mesure que les réponses se font plus précises, que les impressions s’intensifient, d’autres questions plus ciblées, ou plus pertinentes, sont énoncées par le thérapeute. Des liens sont établis entre certaines circonstances passées et présentes, afin de déjouer les blocages et d’aider le patient à réaliser, ce qui a évolué ou non depuis cette ère.

Dans le cadre de la Ro-Hun thérapie, le thérapeute dispose de deux heures en moyenne pour l’exploration, parfois moins, en fonction des explications préalables fournies avant le travail à proprement parlé. Il doit demeurer conscient de l’objectif à atteindre et ne pas se laisser happer ou dériver dans l’analyse des détails de l’exposé. En effet, il ne doit pas perdre un temps précieux, pour qu’à la fin de la séance, il est le temps de se consacrer à la pacification, aux soins et à la libération.

Pour ma part, le fait de voir littéralement les scènes, comme sur un écran de cinéma, s’avère d’une aide précieuse. Il est important de pourvoir distinguer le vécu, inhérent à l’époque et aux situations relatées, avec l’imaginaire du patient, afin de rester synthétique.

Le succès d’une régression repose toujours sur la capacité du patient à:

  1. Accepter que cette démarche demeure accessible à tous et qu’aucune aptitude particulière n’est nécessaire, pour atteindre un résultat.
  2. Se relaxer.
  3. Se faire confiance.
  4. Ne pas juger ou interpréter les informations reçues.
  5. Répondre rapidement aux questions posées par le thérapeute.
  6. Faire confiance à son thérapeute.

Ce dernier point est capital. Raison pour laquelle, et avant de commencer tout travail thérapeutique, j’offre un entretien gratuit d’une heure.

À quoi dois-je m’attendre après la séance?

Tout d’abord, il est primordial de retranscrire par écrit l’expérience le plus rapidement possible, afin de préserver un maximum de données. Le simple fait de noter son expérience, fait émerger d’autres prises de consciences ou d’autres liens précieux, que ceux déjà mis en évidence dans le travail. Ceci a aussi pour avantage de ne pas encombrer inutilement le mental. Par la suite, ce dernier se fera un malin plaisir d’effacer les souvenirs, même les plus vivides, comme au réveil à la sortie d’un rêve puissant, alors que la conscience ordinaire reprend le pouvoir…

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Durant les deux semaines suivant la régression, le patient doit continuer à s’observer (ses comportements, ses émotions, ses pensées, ses interactions dans sa vie courante, etc.), pour réaliser la portée des changements s’opérant dans son existence. Ou remarquer au contraire, les éventuels blocages et/ou résistances qui persistent. Tenir un journal de ces diverses modifications est fondamental, pour soutenir le succès du travail déjà accompli.

Suivant le sujet concerné dans la régression, des émotions fortes peuvent surgir, afin d’être évacuées. Des réactions physiques, des plus bégnines aux plus miraculeuses, peuvent se produire. Des relations difficiles peuvent se résoudre ou cesser carrément d’exister… Bref, la liste est inexhaustible!

Selon Raymond Moody, précurseur des EMI (Expérience de Mort Imminente), certaines des douze caractéristiques suivantes sont constatées, dans toute expérience de régression:

  1. Les régressions apparaissent sous forme visuelle.
  2. Elles semblent douées d’une existence autonome.
  3. Elles offrent une imagerie étrangement familière au sujet.
  4. Elles permettent d’identifier les personnages.
  5. Elles sont chargées de sensations et d’émotions.
  6. Elles donnent au sujet le sentiment d’être à la fois l’acteur et l’observateur.
  7. Elles reflètent les problèmes contemporains du sujet,
  8. Elles améliorent son état psychique,
  9. Elles affectent son état de santé.
  10. Elles n’ont pas d’ordre chronologique.
  11. Elles sont améliorées par la fréquence des séances.
  12. Elles font surgir des vies très banales.

R. MOODY, (II), pp. 62-78.

Que dois-je faire si je veux entreprendre des régressions?
  1. Lire cet article, ainsi que les divers articles sur la Ro-Hun thérapie et les chakras.
  2. Définir un ou plusieurs objectifs précis, avant de prendre contact.
  3. Envoyer un email à : karene@ka-ren.ch, pour programmer un entretien gratuit d’une heure.
  4. Si l’entretien s’avère positif, un minimum de trois séances, de deux heures chacune, sera programmé pour une exploration en profondeur.
  5. Le prix des séances ne sera communiqué, qu’à la suite de cet entretien.

attention2Note: j’attire votre attention sur le fait qu’un thérapeute, offrant une heure de son temps gracieusement, est pour ainsi dire inédit dans ce domaine!

Aussi je vous serai grée d’annoncer tout désistement 72 heures à l’avance.