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UN ÊTRE DE LUMIÈRE DANS UN MONDE PHYSIQUE

gaetanmorinEn parcourant le site web Alchymed.com, – sur lequel paraîtra bientôt mon prochain article “Soleil et Conscience” -, j’ai découvert celui de Gaétan Morin. Comme ceux d’Anne Givaudan ou de Daniel Meurois, celui-ci parle à mon cœur, car soutient la dynamique de mon propre travail de Ro-Hun Thérapie

L’âme ne dispose que d’un véhicule, ou d’un outil, pour évoluer sur terre : le corps physique. Nous sommes tous, à notre état le plus pur, des êtres de lumière qui expérimentent le monde physique, le monde de la matière. Pour qu’un esprit puisse vivre dans un corps physique, un certain processus doit être respecté. L’être de lumière que nous sommes vibre à un tel taux vibratoire avant de s’incarner, qu’il ne peut habiter directement un corps physique d’un taux vibratoire aussi bas.

Le corps se consumerait aussitôt.  Alors, en tant qu’esprit pur, nous prenons une partie de notre énergie et nous abaissons son taux vibratoire, juste assez pour maintenir la vie dans le corps physique.  En même temps, on code cette même énergie pour ajuster le magnétisme de manière à vibrer en fonction du plan de vie choisi.

C’est la raison pour laquelle personne n’a le même taux vibratoire et personne n’attire les mêmes expériences.  Cet ajustement trace généralement deux ou trois grandes lignes maîtresses qu’il nous serait sage de suivre.  Lorsque nous sommes dans la bonne voie, les expériences que nous vivons sont nourrissantes et nous sommes en expansion.  On sent alors que l’on avance dans la vie, de corps et d’esprit.

Le corps physique est un baromètre fiable.  Si on est malade, c’est que la vie ne nous nourrit plus.  La sagesse nous dicte alors des changements au niveau de notre attitude et de nos choix.  Puis, lorsque ces changements sont apportés, le bien-être et la santé reviennent.

À la naissance, l’âme s’intègre dans le corps du bébé et le voyage commence.  Même si le processus d’incarnation comprend trois éléments, soit le corps, l’âme et l’esprit, il faut y voir un tout indissociable.  Il est bien de le décomposer pour le comprendre, mais cette dissociation alimente aussi la dualité.  Il est préférable de voir ce processus comme un tout.

Photo albund: Droit d’auteur

Il y a des gens qui souvent, en parlant de l’âme, vont dire “c’est bon pour mon âme” ou encore “mon âme devait avoir besoin de ça”.  Pour moi, il s’agit ici d’un exemple de dissociation.  Ils parlent d’eux à la troisième personne, comme on dit parfois, lorsqu’on fait une gaffe “hé qu’il n’a pas été fin de faire ça !” en parlant de nous-mêmes.  Ce problème est bien connu en psychologie.  La dissociation affecte notre capacité de nous responsabiliser et d’intégrer certaines expériences.

Selon moi, l’âme est visible et quantifiable.Visible ?  L’âme habite et imprègne chacune des milliards de cellules qui composent le corps humain.  Sa lumière est si brillante qu’elle n’en respecte pas les limites et rayonne au delà du corps physique.  Ce rayonnement s’appelle l’aura.  Lorsqu’on observe attentivement le regard des gens, on distingue, dans la pupille de l’œil, une lumière, une flamme plus ou moins intense.  Cette intensité nous indique l’état d’âme dans lequel la personne se trouve.  Ainsi, une flamme intense et brillante dénote un feu sacré puissant, une foi et un désir de vivre intensément, alors qu’une personne dépressive a un regard terne, sans éclat.

Visible aussi parce que, depuis plusieurs années, bien des gens m’ont confié avoir vu, lors du décès d’un proche, une brume, bleutée ou blanchâtre, quitter le corps du malade juste avant de constater son décès.  Les premières fois, je me disais qu’ils fabulaient à cause des trop fortes émotions qu’ils vivaient à ce moment précis.  On m’affirmait cependant que le phénomène avait été vu par plusieurs personnes en même temps, ce qui me laissait songeur.  J’y ai toutefois accordé plus de crédibilité lorsque le même phénomène me fut signalé par cinq ou six personnes travaillant dans le domaine hospitalier.  Ces infirmières, infirmiers ou médecins, n’avaient, avec les malades, aucun lien émotif qui pouvait fausser leur jugement.  Personnellement, je n’ai jamais observé ce phénomène pour la bonne raison que je n’ai jamais été présent lors d’un décès.

Tangible ?  Je sens les corps subtils avec mes mains.  Si je peux les sentir, c’est qu’ils ont une densité, donc un poids.
Vers la fin des années cinquante, un médecin européen qui se questionnait sur la vie et la mort, mais aussi sur l’âme et la vie après la mort, fit une expérience pour le moins originale.

Il dirigeait un institution où des malades venaient finir leur vie.  Il était donc confronté à la mort à tous les jours.  Pour réaliser son expérience, il plaça, dans une salle commune, six patients en phase terminale et les mit sous observation 24 heures sur 24.  Il plaça aussi chaque lit sur une balance.  Quelle ne fut pas sa surprise de constater qu’à chaque fois qu’un décès survenait, le poids du malade baissait immédiatement de 30 à 40 grammes.Je fus stupéfait lorsque j’ai lu cet article.  C’est quand même très lourd quand on pense que ce n’est que de l’énergie, de la lumière.

Les perceptions extrasensorielles sont tout simplement le raffinement de nos cinq sens, le goût, l’odorat, l’ouïe, la vue et le toucher.  C’est par ces cinq sens que nous pouvons sentir la vie en nous et expérimenter toute la gamme des émotions possibles.Parfois, certaines situations nous obligent à nous couper de nos sens.  Par exemple, une douleur intense, suite à une brûlure ou une fracture, peut nous obliger à nous déconnecter d’une région spécifique du corps.  Les émotions douloureuses et déchirantes nous obligent à nous déconnecter également du plan émotionnel, donc à ne plus ressentir nos émotions.

D’un point de vue plus positif, ces mêmes sens nous font ressentir la joie, l’amour, la douceur et toute la gamme des sensations agréables.  Nos sens nous servent à goûter pleinement la vie.  Les gens qui, pour toutes sortes de raisons, se coupent de leurs sens, mettent, à long terme, leur vie en danger.  Une personne déconnectée utilise son corps comme une machine.  Elle néglige ou ignore les signaux émis par ses sens, comme la douleur et la fatigue bien sûr, mais aussi la douceur et le bien-être.  En effet, ce sont les mêmes senseurs qui agissent dans les deux cas.  Pour sentir la vie, l’amour, la joie, il faut accepter d’être sensible à la douleur et à la peine, sinon la vie ne goûte plus rien.

Nous sommes bien réels de corps et d’esprit et un beau jour nous quitterons.  Mais où irons-nous ?”
Gaétan Morin